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Reconstituer une cité antique n'est pas chose facile car il nous manque beaucoup d'informations sur l'architecture des bâtiments, le tracé des rues, l'aspect des quartiers, mais aussi l'environnement naturel. L'image de cette ville est une évocation proposée : elle restitue les proportions et les grandes lignes des édifices connus, insérés dans un contexte urbain dont l'extension est à peu près délimitée. Lutèce fait partie des villes historiques de Gaule à plus d'un titre et c'est aussi en comparant ses propres caractères à ceux d'autres cités gallo-romaines que l'architecte Jean-Claude Golvin a pu cerner la physionomie de Lutèce.
Édité en quadrichromie, sur papier Rives tradition, il est accompagné d'un texte de Jean-Claude GOLVIN et de Philippe VELAY (Conservateur en chef du Patrimoine de la Ville de Paris).
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Le plan dit de Bâle, du nom du lieu de sa découverte, a été livré en 1550 par Olivier TRUSCHET et Germain HOYAU, imprimeurs-xylographes rue Montorgueil. Pièce unique, rareté de premier ordre... ce plan inconnu, le premier et le plus important qui ait été publié... (Jules Cousin, Conservateur en chef des Musées de la Ville de Paris, 1875) est ici restitué à sa couleur et à ses dimensions originales.
Louange de Paris, il est aussi l'exemple accompli d'un art populaire souvent qualifié de naïf alors qu'il est le produit d'une technique raffinée.
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Aujourd'hui, nul n'ignore, que la capitale qui s'offre aux regards, est le Paris rêvé par Napoléon III, et qu'il a imposé par l'entremise de son préfet de la Seine, Georges-Eugène Haussmann. Mais on mesure assez mal les bouleversements qu'en dix-sept ans le baron fit subir à une ville qui n'avait que peu changé en plusieurs siècles.
Etabli sous la direction d' Alphand, collaborateur d'Haussmann, et du préfet Poubelle, le plan de Paris-Haussmann fait l'état des lieux en l'année 1871.
Document technique, qui par des teintes bistre et rouge indique clairement les percements des rues, les implantations de bâtiments, les annexions de villages avec leurs dates.
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Le plus célèbre des plans du Paris ancien, commandé en 1734 au sieur Louis Bretez, professeur de perspective, par Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands. Un plan qui demanda cinq ans de travail et dont la minutie - on distinguait les arbres jeunes des vieux arbres dans le parc des Tuileries - fit l'admiration de Louis XV et de sa cour.
Tous les détails qu'une simple réduction aurait " charbonnés " ont été re-dessinés à la main.
Imprimé sur couché mat
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Aujourd'hui, nul n'ignore, que la capitale qui s'offre aux regards, est le Paris rêvé par Napoléon III, et qu'il a imposé par l'entremise de son préfet de la Seine, Georges-Eugène Haussmann. Mais on mesure assez mal les bouleversements qu'en dix-sept ans le baron fit subir à une ville qui n'avait que peu changé en plusieurs siècles.
Paris à Vol d'Oiseau donne une vue cavalière de la ville en 1855, année de l'une des premières Expositions universelles. Ce plan est dû au dessin de Testard, alors qu'Haussmann n'avait pas encore taillé dans le vif de la vieille cité.
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Aujourd'hui, nul n'ignore, que la capitale qui s'offre aux regards, est le Paris rêvé par Napoléon III, et qu'il a imposé par l'entremise de son préfet de la Seine, Georges-Eugène Haussmann. Mais on mesure assez mal les bouleversements qu'en dix-sept ans le baron fit subir à une ville qui n'avait que peu changé en plusieurs siècles.
"Excursion dans Paris sans voitures", par le trait de Guesnu, fait état des métamorphoses et de la nouvelle topographie de Paris en 1867. Le Paris des temps modernes est né.
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Le plus célèbre des plans du Paris ancien, commandé en 1734 au sieur Louis Bretez, professeur de perspective, par Michel-Etienne Turgot, prévôt des marchands. Un plan qui demanda cinq ans de travail et dont la minutie - on distinguait les arbres jeunes des vieux arbres dans le parc des Tuileries - fit l'admiration de Louis XV et de sa cour.
Tous les détails qu'une simple réduction aurait " charbonnés " ont été re-dessinés à la main.
Imprimé sur couché mat.
Cet extrait se limite à nos grands boulevards d'aujourd'hui
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Ce plan fait partie du Traité de Police de Nicolas de La Mare publié en 1705. Il a été dessiné et gravé par Antoine Coquart Il s'agit d'un plan tout à fait exceptionnel puisqu'il fait référence à une période comprise entre 1215 et 1220, sous le règne de Philippe Auguste. Roi à la forte personnalité, visionnaire pour son époque, Philippe Auguste entreprenait pour Paris de grands travaux. A commencer par des fortifications démarrées en 1190 et terminées en 1211. La ville était alors divisée en huit quartiers. Si le monarque habitait jusque là dans la cité, il décidait de créer le Louvre sur la rive droite.
Imprimé sur Vélin blanc satiné.
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Ce plan de Paris en 1555, est appelé "plan de Saint-Victor". En effet au 18e siècle le seul exemplaire connu était conservé dans cette abbaye.
Il serait dû à l'architecte Jacques Androuet du Cerceau.
Gravé sur cuivre, il possède beaucoup de finesse et une impression de justesse très grande, notamment pour les faubourgs extra-muros.
On notera que le document a été volontairement orienté vers l'ouest pour le nord, ceci afin de permettre de voir les principaux bâtiments de face : Bastille, Notre Dame, Palais de Justice, Sainte Chapelle ...
Imprimé sur Vélin blanc satiné.
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D'une beauté rare, ce plan avait pu être dressé en 1620 mais n'avait fait l'objet d'une parution que trente-cinq ans plus tard, en 1655.
Sa gravure est due au génie de Matthaüs Merian.
Il représente Paris à vol d'oiseau. On admirera la perspective.
Qu'il s'agisse de bâtiments comme la Bastille, le Louvre et le Châtelet ou d'édifices religieux comme la cathédrale Notre Dame. Merian eut aussi le bon goût d'ajouter des personnages aux traditionnels emblèmes de la ville et de la royauté. Ce qu'il perd en valeur topographique, ce plan le gagne en réalisme.
Imprimé sur Vélin blanc satiné.
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La plus grande originalité de ce plan établi en 1654 réside sans doute dans le fait qu'il se lise à l'envers, le nord étant dirigé vers la partie gauche et basse du document.
On l'attribue à Topografia galia, sans autre précision et son rehaussement en couleurs est ancien, ce qui est plutôt rare dans ce type de document.
Les écussons figurant à droite et à gauche représentent d'une part les armoiries de Paris et d'autre part l'appartenance de la ville au royaume symbolisé par la fleur de lys.
Imprimé sur Vélin blanc satiné.
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Ce plan est dû à l'abbé Delagrive, géographe de la ville et de la Société royale de Londres.
Le sculpteur, plus communément appelé graveur, était Marvye tandis que les annotations étaient dues à Lattré.
Ce plan instaure définitivement le système de représentation géométral.
L'abbé Delagrive signalait la mise en place des égouts sur une initiative de Turgot et le marquage des canalisations branchées à partir des fontaines.
Imprimé sur Vélin blanc satiné.
