31 octobre. Comme chaque année, Capucine Millêtre, jeune trentenaire bordelaise, retourne sur les terres de son enfance, au coeur du Sud-Gironde, afin de rendre visite à sa grand-mère. Mais un événement imprévu bouleverse leurs retrouvailles habituelles...
Félicien Ducats, leur voisin, vient de mourir. Dans une atmosphère villageoise étrange et étouffante où le malaise prédomine, son enterrement marque le départ d'un sombre engrenage. Lorsque, quelques jours plus tard, sa grand-mère est victime d'un accident de la route douteux, Capucine cherche à découvrir la vérité en démêlant les fils noués du passé de sa famille. Entre faux-semblants, non-dits et mensonges, elle découvrira peu à peu les secrets de ses racines...
Comment prendre la vie quand les événement vous font voir tout en noir. Il y a des bouleversements qui font que le corps se venge. S’en sortir est parfois un long parcours et comme une guérilla, viennent les rechutes, l’esprit part à la dérive, il trouve son confort dans le domaine du rêve ou dans la confusion. La colère ou la déprime ou le parti d’en rire ne sont pas des choix aisés. La sortie des mouchoirs, même si ceux-ci sont passés de mode, est une tâche facile, car naturelle et spontanée.
Les amis, la famille sont temporairement avec vous, mais ça les dérange de vous voir ainsi, surtout si vous traînez votre âme, vos peines, comme une charrue sans soc, rien ne repoussera dans cette terra rossa. Jusqu'à ce qu'au plus profond de votre déprime quelqu'un a suggéré : Psy... Oups !
Pour devenir grand, il faut cesser d'être petit. Mais petit, ce gamin veut le rester, pour aller loin, longtemps. Et se promener, dans la main d'un grand, au milieu de la nature, des choses et des gens.
Ce livre nous emmène dans ce voyage à la fois surréaliste et léger au cours duquel ne manquent pas les questions que nous nous posons tous quand vient l'envie ou le besoin, de comprendre et de grandir.
La trentaine, Solène est une femme libérée. Comme on peut l'être à la fin du XXe siècle, lorsque les poids de l'éducation et du passé pèsent encore lourd. Son divorce, après un mariage aussi rapide que raté, lui a rendu une forme d'allégresse. L'enseignante et la jeune mère qu'elle est désormais entament un nouveau chapitre d'une vie qui s'apaise et se restructure en douceur. Un bonheur n'arrive jamais seulet le rendez-vous qu'elle n'espérait plus s'invite au coeur d'un été breton. Saura-t-elle renouer avec ce qu'elle croit être le meilleur d'elle-même? Parviendra-t-elle à reprendre le train de son histoire, celui qu'elle a laissé filer à l'aube de ses vingt ans?
Petites douceurs acidulées , est le résultat d'une analyse personnelle concernant les dérives sociétaires dont l'auteur, Frédéric Dhuême, a été victime. Les mettant en exergue, il souhaite ainsi débattre sur le fond maussade d'une société qui part en vrille et faire partager avec ses lecteurs son point de vue concernant les puissants.
De l'action des lycéens à la tendre romance d'un alcoolique en mal d'amour, en passant par l'émouvante aventure d'un chien abandonné, Contes ténus est une suite de nouvelles drôles et grinçantes.
Laurence Gaud s?impose par son style simple et agréable. Une lecture, dans laquelle, les adultes, eux aussi, trouveront leur compte.
Lidia Bolkhovitinova propose une analyse comparative entre deux romans de la littérature russe, Le Maître et Marguerite de M. Boulgakov et La Mitrailleuse d'argile de V. Pélévine. Ce travail, basé sur un large corpus bibliographique, vise à comprendre ce qui rapproche et distingue ces textes appartenant à deux périodes distinctes du XXème siècle. Boulgakov s'inscrit dans la tradition du modernisme littéraire, tandis que Pélévine, en écrivain postmoderniste, se nourrit aussi bien des textes classiques que de la pensée critique. Contrairement à son aîné, Pélévine fait partie de la génération sacrifiée de la fin de l'ère soviétique, qui a subit l'influence du réalisme socialiste. Boulgakov, fervent opposant au stalinisme, représente pour lui un modèle littéraire absolu. L'étude révèle plusieurs proximités thématiques et narratives, comme la figure du héros écrivain au destin singulier dans lequel les écrivains se reflètent en partie. Ils prennent le parti de subvertir les règles établies de la fiction. La puissante force comique à l'oeuvre chez Boulgakov tourne davantage à l'absurde chez Pélévine. Appuyant son argumentation sur de nombreuses citations, l'auteur conclut en pointant les divergences concernant la question du salut final.
Jacques Mandrier membres des forces spéciales, est un homme comblé : une femme qui l'aime, un fils dont il est fier et un métier passionnant qu'il adore sans oublier des amis sincères. Pourtant, après 20 ans au sein des commandos marine, il arrive à un carrefour de sa vie professionnelle où il va devoir poser des choix afin d'être plus présent auprès des siens. Mais le destin va en décider autrement et c'est un combat auquel il ne s'attend pas qu'il devra livrer. De Paris à Bagdad, en passant par Riyad, il lui faudra à nouveau comprendre, s'adapter puis riposter et dominer pour retrouver le bonheur dont on l'a privé.
Ses convictions d'homme l'aideront à toujours y croire…
Hissei Kodaru, un lycéen de 17 ans, est transféré au lycée Stenraw où il fait la connaissance d'Akisa Tensama, la présidente du conseil des élèves. Elle ne semble pas le porter dans son coeur, contrairement à de nombreux autres personnages tous plus décalés les uns que les autres. Mais la situation va rapidement évoluer pour prendre une toute nouvelle dimension.
Quand les chemins s'entrecroisent, les destins partent en éclats.
De l'action, du rire, de l'amour, du hacking et des situations toujours plus hasardeuses.
Hissei Kodaru, qui est-il vraiment ?
Lueurs et silence est un recueil de poésies composé de 1984 à 2016. L'ouvrage dont la maturation a duré trente-deux ans est constitué d'une centaine de textes où se mêlent contemplations, méditations et épiphanies. Des paysages réels ou imaginaires y apparaissent sur un ton de douce mélancolie où, parfois, la légèreté de la musique peut se muer en une rage amoureuse et passionnée.
Comme l'indique le titre, les textes sont groupés en deux parties subdivisées en huit courts chapitres intitulés : « Paysages », « Corps », « Solitude », « Silences », « Nuits », « Cosmos », « Épiphanies », « Vers sibyllins ».
On peut percevoir dans ce cheminement une feuille de route qui a trouvé sa raison d'être : l'invitation à un voyage intime partant de la terre (encrages) et coulant vers l'infini, le mystère et l'inconnu...
« Depuis la découverte du feu et de sa maîtrise, l'homo sapiens a évolué vers l'homo potens, l'homme puissant, celui qui est maître et possède toutes choses.
Sa lutte infernale pour obtenir le pouvoir est restée inerte depuis des siècles et les scientifiques ont préféré ignorer cette part d'évolution. Darwin était sans doute loin d'imaginer que son primate aurait tant d'oppositions intrinsèques. ».
Un narrateur hors du commun va nous transporter dans la vie de Jacques Simon, un homme d'affaires mondain participant à un jeu de téléréalité dont le but est de changer de profession contre la vie d'un de ses ouvriers dans l'intention de démontrer qu'il sait s'adapter et rattraper leur confiance.
Jacques Simon va alors rencontrer des personnes qui par leur regard sur le monde moderne vont à tout jamais changer sa propre vision du monde.
Avec A contre-jour, Elodie Haslé nous invite en voyage à travers des pages aux paysages divers : rieurs, ensoleillés, accidentés ou harmonieux. Ainsi, pour les petits et grands des poésies légères, tendres et drôles, célébrant l'enfance, l'amour et les bonheurs au quotidien. Pour les grands en particulier, des textes graves non dénués pour autant d'optimisme, dans lesquels l'auteure évoque les épreuves de la vie.
Dans la cause "Mégafaûne" Lieu festif, Excessif, Dans la nuit, Dans le bruit, Dans l'alcool, En quartier Habité En zone Protégée.