Frodon le hobbit et ses compagnons se sont engagés, au grand conseil d'Elrond, à détruire l'anneau de puissance dont Sauron de Mordor cherche à s'emparer pour asservir tous les peuples de la terre habitée: elfes et nains, hommes et hobbits.
Dès les premières étapes de leur audacieuse entreprise, les compagnons de frodon vont affronter les forces du Seigneur des Ténèbres et bientôt ils devront se disperser pour survivre. Parviendront-ils à échapper aux cavaliers de Rohan ? Trouveront-ils asile auprès de ceux des arbres, grâce à l'entremise de Sylvebarbe ? Qu'adviendra-t-il de Gandalf le gris métamorphosé, au-delà de la mort, en cavalier blanc?
Avec « Le Retour du Roi » s'achèvent dans un fracas d'apocalypse les derniers combats de la guerre de l'anneau.
Tandis que le continent se couvre de ténèbres, annonçant pour le peuple des Hobbits l'aube d'une ère nouvelle, Frodon poursuit son entreprise. Alors qu'il n'a pu franchir la Porte Noire, il se demande comment atteindre le Mont du Destin. Peut-être est-il trop tard : le seigneur des Ténèbres mobilise ses troupes. Les Rohirrim n'ont plus le temps d'en finir avec le traître assiégé dans l'imprenable tour d'Orhanc ; ils doivent se rassembler pour faire face à l'ennemi. Tentant une fois de plus sa chance, Frodon passe par le Haut Col, où il sera livré à l'abominable Arachné. Survivra-t-il à son dangereux périple à travers le Pays Noir ?
Aux temps reculés qu'évoque le récit, la Terre est peuplée d'innombrables créatures étranges. Les Hobbits, apparentés à l'Homme, mais proches également des Elfes et des Nains, vivent en paix au nord-ouest de l'Ancien Monde, dans la Comté. Paix précaire et menacée, cependant, depuis que Bilbon Sacquet a dérobé au monstre Gollum l'Anneau de Puissance jadis forgé par Sauron de Mordor. Car cet anneau est doté d'un pouvoir immense et maléfique. Il permet à son détenteur de se rendre invisible et lui confère une autorité sans limites sur les possesseurs des autres Anneaux. Bref, il fait de lui le Maître du Monde. C'est pourquoi Sauron s'est juré de reconquérir l'Anneau par tous les moyens. Déjà ses Cavaliers Noirs rôdent aux frontières de la Comté.
Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible qui n'aime pas être dérangé quand il est à table. L'aventure lui tombe dessus comme la foudre, quand le magicien Gandalf et treize nains barbus viennent lui parler de trésor, d'expédition périlleuse, et du dragon Smaug... qu'il va affronter. Car Bilbo doit partir avec eux ! Et le plus extraordinaire, c'est que le hobbit affrontera tous les dangers, sans jamais perdre son humour, même s'il tremblera plus d'une fois.
«Olivier Twist et ses camarades supportèrent la torture d'une lente inanition trois mois durant : à la fin, ils devinrent... si enragés de faim, que l'un d'eux... laissa entendre d'un air sombre à ses compagnons qu'à moins de recevoir une écuellée supplémentaire per diem, il craignait bien d'en arriver quelque soir à dévorer son voisin de lit, un chétif freluquet d'âge tendre. Il avait l'oeil égaré et avide, et tous le crurent sans hésitation. On tint conseil et on tira au sort pour désigner celui qui le soir même, à la fin du dîner, irait trouver le surveillant pour lui demander un supplément ; le sort tomba sur Olivier Twist.»
Dans ces cinq contes, Dickens célèbre l'esprit de Noël, le partage et la charité, et dénonce l'injustice sociale qui exclut les pauvres de cette fête. C'est un portrait truculent de la vie quotidienne et une condamnation sans appel de l'exploitation et de la misère. Ce message social, Dickens nous le donne en douceur, par le détour du conte et du fantastique. Comme l'écrit Dominique Barbéris, «ces contes nous rendent un peu d'enfance à l'état pur, dans la vigueur native des sentiments:l'indignation et la pitié, le rire, la peur. Ils nous redonnent le bonheur oublié de nos premières lectures, ces lectures d'adhésion sans distance critique, sans réserve, non pas sceptiques et endurcies, mais merveilleusement sensibles et crédules».
Le fermier Gilles de Ham coule des jours paisibles en compagnie de son chien, Garm. Jusqu'au jour où un géant vient semer la pagaille sur ses terres. Gilles le chasse avec bravoure et le voilà hissé au rang de héros. Mais il n'est pas au bout de ses peines ! Cette fois c'est un dragon, poussé par une faim dévorante, qui terrorise le village tout entier. Armé de Mordqueues, la légendaire épée qui lui est donnée par le Roi, Gilles de Ham doit repartir, bien à contrecoeur, vers de nouveaux exploits...
Cette nouvelle édition de faërie, établie par vincent ferré, contient - outre " du conte de fées ", oú tolkien expose sa conception du merveilleux, lestrois nouvelles" feuille, de niggle ", " le fermier gilles de ham " et " smith de grand wooton " ainsi qu'une introduction de christopher tolkien - des textes de j.
R. r. tolkien réunis pour la première fois : " le retour de beorhtnoth ", dialogue (encore inédit en français) sur la guerre et l'héroïsme, dans la lignée de la poésie anglaise médiévale, accompagné de réflexions de tolkien qui font écho au seigneur des anneaux ; " mythopoeia ", véritable art poétique et texte fondamental pour comprendre tolkien ; enfin, une traduction révisée des aventures de tom bombadil (accompagnée du texte anglais), précédée d'une importance introduction de j.
R. r. tolkien, qui intègre ce recueil dans le cycle de la terre du milieu.
Tom Jones, enfant trouvé élevé par un châtelain, et amoureux de Sophie, rencontre de nombreuses aventures, de la campagne à la ville et au bonheur. Le roman est un vaste panorama de l'Angleterre au XVIIIe siècle. Il se place dans la tradition de la satire, à la suite de Gulliver de Swift et de L'Opéra des gueux de John Gay, mais aussi de Molière et de Cervantès : l'auteur ne veut pas seulement nous amuser, il défend une morale philosophique et chrétienne, tout en rejetant le conservatisme. Il se rattache à la philosophie de la liberté de Locke.
Fielding renouvelle le roman d'aventures et de moeurs en le nourrissant de sa culture, qui va du roman gréco-romain aux picaresques espagnols et à Manon Lescaut. Il s'agit, et c'est ce qui en fait la gloire, d'une « épopée comique en prose », comme le dit l'auteur lui-même.
Petite divinité domestique, tour à tour silencieuse et volubile, le grillon est l'âme de la maison. Symbole du bonheur et de la sérénité, il apaise les coeurs rongés par le doute, la colère ou l'aigreur. Extraordinaire conteur, Dickens dénonce la misère de la société industrielle tout en évoquant la vie quotidienne avec humour et s'impose comme l'un des plus grands écrivains anglais du XIX? siècle.
Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible qui n'aime pas être dérangé quand il est à table. L'aventure lui tombe dessus comme la foudre, quand le magicien Gandalf et treize nains barbus viennent lui parler de trésor, d'expédition périlleuse, et du dragon Smaug... qu'il va affronter. Car Bilbo doit partir avec eux ! Et le plus extraordinaire, c'est que le hobbit affrontera tous les dangers, sans jamais perdre son humour, même s'il tremblera plus d'une fois.
"La Terre est peuplée d'innombrables créatures étranges. Les Hobbits, apparentés à l'homme, mais proches également des Elfes et des Nains, vivent en paix au nord-ouest de l'Ancien Monde, dans la Comté. Paix précaire et menacée, cependant, depuis que Bilbon Sacquet a dérobé au monstre Gollum l'anneau de Puissance jadis forgé par Sauron de Mordor. Car cet anneau est doté d'un pouvoir immense et maléfique. Il permet à son détenteur de se rendre invisible et lui confère une autorité sans limite sur les possesseurs des autres anneaux. Bref, il fait de lui le Maître du Monde. C'est pourquoi Sauron s'est juré de reconquérir l'anneau par tous les moyens. Déjà ses Cavaliers Noirs rôdent aux frontières de la Comté"...
Ainsi débute la trilogie du Seigneur des anneaux.
Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible et sans histoire. Son quotidien est bouleversé un beau jour, lorsque Gandalf le magicien et treize nains barbus l'entraînent dans un voyage périlleux. C'est le début d'une grande aventure, d'une fantastique quête au trésor semée d'embûches et d'épreuves, qui mènera Bilbo jusqu'à la Montagne Solitaire gardée par le dragon Smaug.
Prélude au Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit a été vendu à des millions d'exemplaires depuis sa publication en 1937, s'imposant comme l'un des livres les plus aimés et les plus infl uents du XXe siècle.
" je me propose de parler du conte de fées, non sans me rendre compte de la témérité de pareille entreprise.
La faërie est un territoire dangereux, qui renferme maintes chausse-trapes pour les imprudents et des culs-de-basse-fosse pour les présomptueux. et je puis bien compter au nombre de ceux-ci, car si j'aime les contes de fées depuis que j'ai appris à lire, et que j'y ai bien souvent songé, je ne les ai pas étudiés d'un point de vue professionnel. je n'ai guère été qu'un explorateur vagabond (ou un intrus) dans le pays, plein d'émerveillement mais non de savoir.
. il est pourtant certaines questions auxquelles celui qui doit parler des contes de fées doit être prêt à répondre ou à tenter de répondre, quoi que les gens de faërie puissent penser de son impertinence. par exemple : que sont les contes de fées ? quelle en est l'origine ? je tenterai de fournir des réponses à ces questions ou tout au moins les suggestions de réponses que j'ai pu glaner - principalement dans les contes mêmes, dans les quelques-uns que je connais parmi la multitude de ceux qui existent.
" j. r. r. tolkien.