Elle est la parolière d'un groupe de Rock. Il en est le guitariste. Elle raconte leur histoire avec ses mots d'écorchée, cruels, colériques, un peu fous et injustes peut être. Parce que ressentir, souffrir, mourir ou guérir, chez elle, ça s'écrit comme de la musique...
J'avais toujours pensé que la nuit on dormait, mais depuis quelques temps, quand je dors je me retrouve transporté dans un monde peuplé d'elfes, un monde où je suis un autre... Vous pensez que je rêve ? J'ai bien peur que non...
"Un virage dangereux. Un accident de la route : un mort, un blessé grave qui revient peu à peu à luioe pour découvrir que cet accident n'avait rien de ""banal""."
Je m'appelle Gabrielle.
J'aime les corps et les mots. J'aime me frotter aux uns et aux autres. La peau est ma matière préférée et le toucher mon sens le plus développé. J'ai 40 ans passés et je n'ai rien de l'archange.
Je suis libertine et je l'assume. Etre libertine c'est aimer la vie, et la vie c'est la liberté, pas la possession.
Les quelques récits de ce recueil sont nés des confidences qu'on a bien voulu me faire, ou de certaines de mes expériences.
Après deux romans policiers (La main coupée et Mortelle aux éditions Le Manuscrit) où elle explorait les parts d'ombre de l'âme humaine, Guylaine Menot nous livre des nouvelles érotiques.
Ce qui l'intéresse avec la fiction ? Rendre la complexité, les multiples facettes de chacun de nous au travers de ses personnages, toujours profondément humains.
Dans cette suite d'anecdotes réalistes et de récits, la narratrice Gabrielle, libertine assumée, dévoile la sensualité, le désir, la passion, les fantasmes qui brûlent en chacun de nous.
Les maladies mentales font peur. Elles sont peu connues, souvent invisibles. Mardi, HP est un récit poétique ; la vision personnelle, intime, d'une mère confrontée au diagnostic de sa fille.