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Tsvetaeva
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Poèmes de maturité Tome 1 : (1921-1941) poésie lyrique
Marina Tsvetaeva
- Éditions des Syrtes
- Syrtes Poche
- 21 Février 2025
- 9782940701940
Ce volume bilingue propose les poèmes lyriques de Marina Tsvetaeva écrits après son départ de Russie, en 1922, qui marque un tournant dans sa création. (1921-1941) L'attachement à son pays et l'élan passionné vers des personnes qu'elle croise permettent de supporter les séparations, les déceptions et les difficultés de la vie matérielle en exil. Les thèmes lyriques habituels de Tsvetaeva - l'amour, la mort, la poésie - sont toujours présents avec, en arrière-plan, la question du sens de la vocation poétique et de la vie.
L'Intégralité de la poésie lyrique de Marina Tsvetaeva a été traduite par Véronique Lossky (1931-2018), qui a consacré sa vie à l'oeuvre de la grande poétesse russe. -
Poèmes de maturité (1921-1941) poésie lyrique
Marina Tsvetaeva
- Éditions des Syrtes
- Syrtes Poche
- 21 Février 2025
- 9782940701957
Après la parution remarquée des Poèmes de Russie (1912-1920), cette édition en bilingue reprend en format de poche les Poèmes de maturité (1921-1941) de Marina Tsvetaeva.
Les deux volumes rassemblent la création lyrique des dix-sept années d'exil de la poétesse, depuis le moment où elle a quitté son pays en 1922 et jusqu'à sa mort en 1941, de retour en URSS.
En février 1923, à Berlin, Tsvetaeva publie Le Métier, poème qui représente un tournant dans sa création. Écrit sous la forme d'un dialogue poétique avec son lecteur, le thème général demeure la solitude dans le contexte de l'attachement à son pays. Les thèmes lyriques habituels - l'amour, la mort, la poésie - sont toujours présentés avec, en arrière-plan, une perspective philosophique qui pose la question du sens de la vocation poétique et de la vie.
Au bout de quelques années en Occident, Tsvetaeva va composer un nouveau recueil poétique, Après la Russiepublié à Paris en 1928. Elle revient à ses thèmes lyriques et philosophiques favoris?: Dieu, la vocation du poète, le temps et l'éternité, la grisaille du quotidien, l'amour et les questions sur son propre destin. Tsvetaeva voulait en faire un bilan des années de jeunesse fougueuse et d'approfondissement de sa maturation.
D'autres poèmes moins connus, souvent liés à l'exil et à son entourage viennent enrichir ce recueil.
Le retour au pays ne lui apportera que malheur et déceptions. Les poèmes de la fin révèlent une Tsvetaeva toujours amoureuse et toujours extrême dans son aspiration vers l'absolu et la transcendance, mais le désespoir est déjà -
L'océan lisait avec moi : lettres à Rilke sur la poésie
Marina Ivanova Tsvetaeva
- L'ORMA
- Les Plis
- 19 Avril 2024
- 9791254760765
Les lettres envoyées par la poétesse russe à Rainer Maria Rilke, présentées dans leur intégralité, témoignent de la rencontre de ces deux esprits lyriques. Marina Ivanovna Tsvetaeva y laisse apparaître sa conscience de l'instrument poétique et son instinct de s'affranchir des schémas sociaux, ce qu'illustrent ces lettres imprégnées de passion.
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Vivre dans le feu ; confessions
Marina Tsvetaeva
- LE LIVRE DE POCHE
- Biblio Romans
- 23 Janvier 2008
- 9782253082750
Marina Tsvetaeva (1892-1941) fut l'un des plus grands écrivains russes du xxe siècle. Elle connut un tragique destin : après la révolution d'Octobre, le long exil, d'abord à Prague puis en France, une fille morte de faim, une autre déportée vers le Goulag, l'hostilité de l'émigration russe, l'indifférence du Paris littéraire, le retour contraint en Union soviétique, ses appels désespérés à Beria ou Staline... jusqu'à son suicide. Tout cela, Marina l'a écrit, avec une minutie poignante, poursuivant sans relâche son monologue dans des cahiers de brouillon et des carnets. Seule la mort l'a empêchée d'en faire un livre. Pour établir ce qui constitue une véritable autobiographie de Tsvetaeva, Tzvetan Todorov a extrait des dix tomes d'écrits intimes publiés en russe la matière d'un volume, Vivre dans le feu : un chef-d'oeuvre.
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Poèmes de Russie i (1912-1920)
Marina Tsvetaeva
- Éditions des Syrtes
- Syrtes Poche
- 31 Août 2023
- 9782940701643
Dans l'espace francophone Marina Tsvetaeva (1892-1941) est surtout connue par sa prose mais elle se considérait avant tout comme une poétesse et elle le demeure pour le public russe.
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Poèmes de Russie Tome 2 : (1912-1920)
Marina Tsvetaeva
- Éditions des Syrtes
- Syrtes Poche
- 31 Août 2023
- 9782940701650
Marina Tsvetaeva (1892-1941) est considérée comme l'une des plus grandes poétesses russes du XXe siècle. Cette édition de poche en bilingue reprend la première partie de l'édition parue aux Syrtes en 2015. Il s'agissait d'une nouvelle traduction de la poésie lyrique de Tsvetaeva, intégrale et en grande partie inédite, de ses premiers écrits en Russie. La traduction est effectuée par Véronique Lossky, grande spécialiste française de Tsvetaeva et de son oeuvre.
Cette période de vie en Russie est riche en événements personnels et historiques. Les poèmes reflètent les joies et les douleurs vécues en ces années difficiles : l'amour est un thème évident et l'auteur en décrit toutes les facettes avec une aisance déconcertante.
Un deuxième coffret, Poèmes de maturité, est prévu pour 2024. -
Coffret poèmes de Russie (1912-1920)
Marina Tsvetaeva
- Éditions des Syrtes
- Syrtes Poche
- 31 Août 2023
- 9782940701605
Dans l'espace francophone Marina Tsvetaeva (1892-1941) est surtout connue par sa prose mais elle se considérait avant tout comme une poétesse et elle le demeure pour le public russe.
Cette édition en bilingue reprend en format de poche la première partie de l'édition parue aux Syrtes en 2015. Il s'agissait d'une nouvelle traduction de la poésie lyrique de Marina Tsvetaeva, en grande partie inédite.
Les deux volumes des Poèmes de Russie, (vendus séparément et ensemble sous coffret) rassemblent la création lyrique en Russie, jusqu'au moment où Tsvetaeva quitte son pays, en 1922. Certains d'entre eux avaient été publiés en recueils ou dans des revues, d'autres remplissaient ses nombreux cahiers de travail.
En cette époque moscovite, Tsvetaeva écrit parfois plusieurs poèmes lyriques par jour et les murs de son logis reflètent sa recherche verbale : ils sont couverts de fragments de poèmes, de rimes, de phrases disparates. Cette période de vie, avant le départ pour l'Europe, est riche en événements personnels et historiques. Les poèmes reflètent les joies et les douleurs vécues en ces années difficiles : l'amour est un thème récurrent et l'auteur en décrit toutes les facettes avec une aisance déconcertante -
Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième reçue
Marina Tsvetaeva
- Éditions Marguerite Waknine
- 22 Octobre 2021
- 9791094565872
Comme la grande histoire de la Russie où elle voit le jour en 1892, l'histoire de la vie de Marina Tsvetaeva est en son fond terriblement tragique ; une vie d'exil à travers l'Europe, Berlin, Prague et Paris, avant de retrouver la Russie, ou plutôt l'URSS, en 1939, et de s'y donner la mort, en se pendant, deux ans plus tard. Une vie faite de privations, de pauvreté et d'isolements, mais celle aussi d'une oeuvre écrite hors du commun, qui se compose de cycles poétiques, de récits et d'essais et d'une correspondance avec des écrivains de premier plan, comme Boris Pasternak ou Rainer Maria Rilke. Une oeuvre où se trouve aussi ce bien étrange récit épistolaire, rédigé en 1933, en français, à partir d'une matière première dans laquelle elle puise : neuf lettres réellement adressées à l'éditeur Abraham Vichniak dix années auparavant, auxquelles est ajoutée une lettre de ce dernier. Une matière première qu'elle réécrit, transpose, et à laquelle elle ajoute une postface ainsi que le récit d'une dernière rencontre avec Vichniak au cours d'un réveillon quelques années plus tard. Un récit singulier qui se fait au moins le témoin des passions amoureuses qui ont bouleversé l'existence de Marina Tsvetaeva. Ce récit, au cours des années parisiennes, ne trouvera pas alors preneur auprès de l'édition française. Il ne paraîtra pour la première fois qu'en 1983, en Italie, sous le titre Le Notti fiorentine. Puis il faudra attendre le remarquable travail des éditions Clémence Hiver pour le voir paraître, enfin, en France, en 1985, sous ce titre : Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième reçue.
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Après avoir tué le Minotaure et conquis Ariane,
lucide et amer, Thésée la cède à Bacchus, l'abandonnant sur l'île de Naxos : l'homme mortel ne peut pas donner à sa bien-aimée ce qu'un dieu est capable de lui offrir - l'immortalité, une jeunesse éternelle et l'impérissable beauté... -
Témoignage capital sur une époque, ces souvenirs de la soeur de marina tsvétaeva, l'une des figures majeures de la littérature russe du xxe siècle, valent par eux-mêmes.
Ils sont l'oeuvre d'un écrivain qui sait merveilleusement restituer les émotions de l'enfance, de l'adolescence, l'atmosphère d'un lieu, d'une saison - un monde, un temps perdus. ces souvenirs, oú marina tsvétaeva occupe bien sûr la première place, évoquent avant tout la vie quotidienne de la famille tsvétaev (le père est le fondateur du musée pouchkine, à moscou) qui se confond avec les grands événements de l'époque (la révolution de 1905, l'enterrement de tolstoï, 1917.
) et la vie intellectuelle du moment. au fil des ans et des pages, des noms apparaissent comme ceux de volochine, gorki, akhmatova, goumiliov, mandelstam, pasternak. les souvenirs s'arrêtent en 1927, quand anastassia vient voir marina qui vit en france, à meudon. les deux soeurs ne se reverront plus jamais. anastassia, arrêtée en septembre 1937 (ses manuscrits confisqués et détruits), fut déportée puis reléguée en sibérie alors que marina revenue, en 1939, en union soviétique se suicidait, au début de la guerre, en 1941.
Deux chapitres complémentaires relatent un séjour en italie chez gorki, et une enquête en 1961, à elabouga, sur la mort tragique de marina. rarement l'intense vie littéraire russe aura été mieux décrite que dans ces souvenirs. dans le combat impitoyable que se livrent l'imagination libératrice et la volonté d'asservissement, voilà un témoignage criant de vérité sur le destin d'une génération promise à la hache du bourreau.
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L'idéologie soviétique de l'époque. Composer ce livre dans la situation politique du moment était un défi. Marina Tsvetaeva savait qu'il était impossible que son ouvrage paraisse dans son pays, d'autant qu'elle revenait après des années passées en Occident et que presque toute sa famille était arrêtée ou exilée.
Présenter ce livre aujourd'hui, c'est rendre son dû à un grand poète, lui redonner le droit de dire un dernier mot avant de mourir. Mais ce livre est aussi le dû d'un poète à son pays : au retour d'exil, une parole de fidélité. C'est aussi son dû à la France : un recueil complet de poèmes, publié pour la première fois : son dernier choix, sans coupures ni regrets, en russe et en français.
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C'est en France, dans les années trente - la décennie de la misère et des textes en prose -, que Marina Tsvétaeva, dans des appartements lugubres à Meudon, puis à Clamart et à Vanves, écrivit les trois textes composant ce recueil : Le Diable, Ma mère et la musique et La Maison du vieux Pimène. Trois textes qui livrent le motif obsédant de la vie de Tsvétaeva, dominée par les trois M : la Mort, la Mère, les Mots. La mort qui rôde et fauche dans la maison d'enfance. La mère, impétueuse, géniale, inaccessible, qui voulut imposer à sa fille une vocation de musicienne. Les mots, incarnés par le Diable, à l'appel duquel l'enfant répondit comme Marc Aurèle à Dieu : « C'est à toi que je suis redevable du cercle enchanté de ma solitude, qui m'accompagne partout.
Marina Tsvétaeva fait le récit de la fidélité à sa vocation avec ascétisme et lyrisme, exaltation et cynisme. C'est une prose froide et ensorceleuse, pieuse et vengeresse, au sortir de laquelle une seule question se pose : « Comment ça va la vie, après la lecture de Marina Tsvétaeva ? »
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Sont ici réunis la quasi-totalité des textes que la grande poétesse russe écrivit directement en français ou traduisit elle-même de ses oeuvres.
Une richesse injustement méconnue de la langue française !
Marina Tsvetaïeva parlait parfaitement la langue française. Durant les quatorze années qu'elle passa en France, après avoir fui la Révolution et la Guerre civile en Russie, Marina Tsvetaïeva, pour tenter de toucher un public français qui ne la connaissait pas, entreprend de traduire elle-même certaines des ses oeuvres. Ainsi en 1929 Le Gars, un long poème, devenu conte et adapté d'un conte populaire recueilli par Afanassiev autour de la figure du Vampire : l'histoire de la belle Maroussia qui tombe amoureuse de celui avec lequel elle a dansé toute la nuit, et qu'elle surprend le lendemain en train de dévorer un cadavre... Ainsi Neuf lettres avec une dixième retenue et une onzième, écrites en 1933 en français, à partir d'une matière première dans laquelle elle puise : neuf lettres réellement adressées à l'éditeur Abraham Vichniak dix années auparavant, auxquelles est ajoutée une lettre de ce dernier. Une première matière qu'elle réécrit, transpose, et à laquelle elle ajoute une postface ainsi que le récit d'une dernière rencontre avec Vichniak au cours d'un réveillon quelques années plus tard. Un récit singulier qui est le témoin des nombreuses passions amoureuses qui ont
bouleversé l'existence de Tsvetaeva.
La célèbre « Lettre à l'Amazone » [Mon frère féminin], aussi écrite en français, est quant à elle publiée en ce même mois de mars, avec les Trente-trois monstres de Lydia Zinovieva-Annibal, en parallèle à la grande parution de la traduction de l'extraordinaire biographie écrite par la spécialiste et passionnée de Tsvetaïeva Viktoria Schweitzer. -
Thésée rentre de campagne. Pas un bruit, pas un serviteur pour l'accueillir. Phèdre, la reine, est morte. Que s'est-il passé ? Qui annoncera l'innommable au roi ? Hippolyte survivra-t-il à la honte de cette mort? Le roi se remettra-t-il de ce désastre? Phèdre a-t-elle été la victime de son désir ?