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Buffetaut Yves
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La Sorcellerie En Normandie
Buffetaut Yves
- Ysec
- Itineraires De Normandie
- 8 Novembre 2013
- 9782919091348
Ce livre présente les cas les plus extraordinaires de sorcellerie dans les cinq départements normands et proposent aux lecteurs la découverte, par de très belles images et photographies, des lieux les plus mystérieux de Normandie, de la lande de Lessay aux profondeurs du bocage.
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Au début du XXe siècle, le monde connaît une révolution comme il n'en a jamais connu depuis les invasions barbares, mais personne n'en est véritablement conscient. En 1910 et pour la première fois depuis des siècles, la première puissance économique n'est plus européenne. La Grande- Bretagne n'est plus qu'un empire fatigué, l'Allemagne ne parvient pas à se sortir du corset de sa position continentale, la France court déjà après le mythe de sa puissance passée, l'Empire austro-hongrois se désagrège et la Russie ne parvient pas à se moderniser. L'Europe n'est en fait qu'une plaie ouverte, malade de ses rancoeurs, de ses jalousies, de son incapacité à se réformer. L'espoir d'un nouveau monde se trouve ailleurs, aux Etats-Unis, qui deviennent en 1910 la première puissance économique mondiale.
Pour se sortir du marasme qui l'étouffe, l'Europe, plus divisée que jamais, choisit de faire parler les armes. Mais l'euphorie des premières semaines mène directement à la désillusion. Rien ne se déroule comme prévu. La France est battue lors de la bataille des frontière, l'Allemagne sur les rives de la Marne. La course à la mer se termine sur les bords de la mer du Nord et le front se fige jusqu'à la frontière suisse. Pendant quatre interminables années, les belligérants vont tenter de briser cette ligne obsédante des tranchées, ajoutant de nouveaux noms au long martyrologue de l'humanité : Ypres et les premiers gaz de combat, Verdun et ses 300 jours et 300 nuits de combat, la Somme et sa boue. Les nations les plus développées du monde rivalisent de génie pour inventer des armes mortelles : chars de combat, aviation, artillerie lourde, cuirassés... Et l'Europe, dans son suicide, entraîne le monde entier. Lorsque finalement l'Allemagne, écrasée sous le nombre, épuisée économiquement et minée par la révolution, accepte la capitulation en 1918, les nations triomphantes l'accablent encore davantage et sèment les germes de la future guerre, sans régler un seul des problèmes en suspend en 1914.
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Css alabama - un corsaire sudiste sur les mers du globe
Buffetaut Yves
- Ring
- 17 Novembre 2022
- 9782379340321
L'épopée du bateau fantôme de la guerre de Sécession L'épopée du bateau fantôme de la guerre de Sécession L'histoire du CSS Alabama et de son capitaine, Raphael Semmes, est unique dans l'histoire de la marine. Cette frégate, construite secrètement à Liverpool pour la marine sudiste et qui n'aura jamais de port d'attache, mène pendant deux ans une guerre de course contre la marine marchande des États-Unis. Raphael Semmes parvient à interrompre presque totalement le trafic commercial yankee : il coule 67 navires, apparaissant là où personne ne l'attend et disparaissant aussitôt. Les navires de guerre de l'Union Navy, qui le chassent sur toutes les mers du globe, ne le découvrent jamais. À la tête d'un équipage de mercenaires anglais, issus des bas-fonds de Liverpool, il réussit à mener une guerre impitoyable sans aucune effusion de sang. Le CSS Alabama livre finalement son dernier combat devant Cherbourg, le 19 juin 1864. Il est coulé par l'USS Kearsarge, mais Raphael Semmes parvient à échapper à la capture de façon rocambolesque.
Docteur en Histoire, Yves Buffetaut est le directeur de la publication des magazines Batailles et Tranchées. Auteur d'une quarantaine d'ouvrages sur les deux guerres mondiales et 'Antiquité, il est passionné de navigation et a obtenu le prix Encre Marine en 1994. -
Atlas de la Première Guerre mondiale ; la chute des empires européens
Yves Buffetaut
- Autrement
- Autrement Atlas
- 14 Avril 2021
- 9782746760998
Cet atlas retrace les origines, les enjeux et les conséquences de la Grande Guerre, dans toutes ses dimensions et à toutes les échelles.
- Les combats en Europe, les tensions au Moyen-Orient, les révolutions russes et l'implication des États-Unis attestent de la dimension internationale du conflit.
- Les grandes batailles ont marqué plus localement les pays : la Marne, les Dardanelles, Verdun, la Somme.
- La chute des empires, la création de nouveaux États et les rapports entre vainqueurs et vaincus sèment les germes du prochain conflit mondial.
Grâce à plus de 80 cartes et infographies, l'auteur analyse cette période charnière de l'histoire du monde que fut la Première Guerre mondiale.
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En 52 avant J.-C. éclate l'insurrection gauloise menée par Vercingétorix. Pour la première fois, une unité des différents peuples gaulois est accomplie, ce qui explique la position périlleuse dans laquelle Jules César va se retrouver.
Vercingétorix, dont en pense aujourd'hui qu'il a passé une partie de sa jeunesse comme auxiliaire gaulois dans l'armée romaine, connaît bien son adversaire et sait qu'il ne peut espérer le vaincre dans une bataille rangée. Les premiers mois de la guerre sont une succession d'escarmouches, Vercingétorix menant une forme de guérilla avant la lettre. César décide de rechercher la victoire finale en attaquant la capitale des Arvernes, Gergovie, dont Vercingétorix est le chef. Les combats, assez décousus, se terminent par un indéniable succès gaulois, forçant César à lever le camp. Vercingétorix se lance à sa poursuite mais sa cavalerie est détruite par les Germains et il se réfugie à Alésia, en attendant une armée de secours. Celle-ci est vaincue par César devant Alésia et Vercingétorix est contraint de se rendre. La Gaule deviendra romaine. -
LES BATAILLES DE METZERAL ET DU LINGE - VOSGES 1915
Yves Buffetaut
- Regi Arm
- 8 Février 2024
- 9782377830794
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Hartmannswillerkopf, un sommet en enfer : Alsace 1915
Yves Buffetaut
- Ysec
- 18 Août 2022
- 9782846734042
De la fin de l'année 1914 à l'automne 1915, les batailles à l'est du front française se cristallisent sur un sommet des Vosges, au nom difficilement prononçable pour les Français : le Hartmannswillerkopf, aussi appelé HWK par les Allemands et Vieil-Armand par les Français. Les combats y sont d'une rare violence pour un sommet complètement anonyme avant la guerre.
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La généalogie pour tous : la bonne méthode pour débuter et construire son arbre
Yves Buffetaut, Merie-odile Mergnac, Philippe de Montjouvent
- Autrement
- Essais
- 14 Avril 2021
- 9782746759770
Par où commencer ?
Premières démarches, outils indispensables : adoptez d'emblée les bons réflexes.
Toutes nos astuces et recommandations pour bien se repérer dans les archives.
Les meilleures sources, et comment s'appuyer sur Internet.
Trouver les bonnes informations... et déjouer les pièges !
Cette édition enrichie reprend tous les éléments qui en ont fait le succès depuis sa parution : elle vous guide pas à pas dans les étapes essentielles, vous donne toutes les clefs de méthodologie, et les assortit de nombreux outils précieux : des conseils pratiques en encadré, des astuces très lisibles en notes de marge, le carnet des adresses incontournables ainsi que de nombreuses annexes que vous pourrez vous approprier, y compris un arbre généalogique à remplir au fur et à mesure de votre enquête.
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Après avoir débarqué en Provence en août 1944, la 1re armée française remonte la vallée du Rhône. Elle arrive devant les Vosges du 15 au 20 septembre 1944. La bataille y est très rude contre la 19e armée allemande et contre les éléments, car le temps est très mauvais : pluie, puis neige et brouillard. LÂ'aviation ne peut intervenir que très rarement. Pour sÂ'emparer du sommet du Haut du Faing, le 6e régiment de tirailleurs marocains perd 100 hommes, mais pour le tenir sous lÂ'artillerie allemande et les contre-attaques, il en perd 700 de plus. La phase active de la bataille sÂ'achève fin octobre, mais la 1re armée attaque ensuite dans la trouée de Belfort et en haute Alsace pour atteindre le Rhin.
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La Première Guerre mondiale est la période de l'apogée des cuirassés, ces géants des mers, lourdement blindés et armés, qui évoluent dans des escadres d'une puissance encore jamais vue. Ils ne s'affronteront que rarement, mais le feront dans des batailles d'une rare intensité, comme le Dogger Bank en 1915 ou le Jutland en 1916. Des navires plus petits, comme les croiseurs, vont aussi livrer des combats sur toutes les mers du globe : Coronel, Falklands, etc. Enfin, les sous-marins vont faire leur apparition en causant des pertes terribles à la navigation de commerce.
Après La Grande Guerre aérienne et La Grande Guerre des chars, ce livre est le troisième de la collection «?Regards sur la Grande Guerre?» écrit par Yves Buffetaut, rédacteur en chef de la revue Tranchées.
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Lorsque la 3rd US Army de Patton devient opérationnelle en Normandie, dans les premiers jours du mois d'août 1944, elle est soutenue par le 19th Tactical Command de l'US Army Air Force. Les chas- seurs bombardiers Mustang et Thunderbolt vont causer des ravages dans les rangs de l'armée allemande, tout en soutenant l'incroyable percée de Patton qui va mettre un terme victorieux à la bataille de Normandie.
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L'offensive allemande des Ardennes, lancée le 16 décembre 1944, est bien connue, de même que l'héroïque défense de Bastogne encerclée. En revanche, en dehors du dégagement de Bastogne par le 3rd US Army de Patton, les événements qui mènent à la reconquête complète du terrain perdu en décembre 1944 ne sont jamais évoqués par les historiens.
Ce livre comble cette lacune et décrit avec précision la reconquête des Ardennes grâce aux efforts conjugués des Américains et des Britanniques, soutenus par une forte aviation.
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Lyon, capitale gallo-romaine, a logiquement été la première ville où s'est répandu le christianisme, dès le lie siècle après Jésus-Christ. C'est pourquoi Lyon est devenue Primatie des Gaules, un titre qu'elle a gardé jusqu'à nos jours. Ce petit guide a pour objet de faire découvrir au visiteur, comme au Lyonnais, les aspects les plus insolites, comme les plus célèbres d'ailleurs, du christianisme à Lyon. Chaque itinéraire, thématique, nous entraîne hors des sentiers battus, dans les jardins comme dans les églises, dans les musées comme le long des fleuves, pour découvrir comment et pourquoi la ville de Lyon est et demeure la Primatie des Gaules. Au hasard des circuits, nous rencontrons des personnalités originales, comme sainte Blandine, bien entendu, mais aussi l'architecte Louis Bossan, l'artiste en vitraux Lucien Bégule, le terrifiant baron des Adrets, etc.
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La bataille de Stalingrad s'étend sur environ six mois, dont trois d'offensive allemande, puis trois du siège par les troupes russes. Elle s'achève par la capitulation de la 6e armée allemande du général Paulus, en février 1943.
C'est la première défaite majeure de l'armée allemande, avec un retentissement dans le monde entier. À partir de cette date, le cours de la Seconde Guerre mondiale change complètement, car l'initiative change de côté : plus jamais l'armée allemande ne sera capable de repartir à l'offensive, pas plus à l'Est qu'en Afrique du Nord, puis à l'Ouest.
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La guerre à l'Est est, sans conteste, le théâtre d'opérations le plus important de la Seconde Guerre mondiale. Un seul chiffre résume cette évidence : sur les 4 743 000 soldats allemands tués durant la guerre, 3 549 000 ont succombé en combattant l'Armée rouge. En y ajoutant les pertes des pays satellites, notamment de la Roumanie et de la Hongrie, sans oublier l'Italie, on arrive au chiffre de 4,3 millions de morts sur le front russe. Du côté russe, l'historien G. F. Krivochev estime les pertes de l'Armée rouge à 7,5 millions d'hommes (y compris les partisans). Si on ajoute les unités polonaises, roumaines, bulgares ou tchèques subordonnées à l'Armée rouge, le total atteint 7,6 millions d'hommes. Le ratio est donc 1 à 1,8 en faveur de l'Axe (et surtout de la Wehrmacht). Même si ce chiffre est en faveur des Allemands, nous sommes loin des légendes faisant croire que le commandement russe envoyait ses hommes à la boucherie en vagues humaines mal armées et mal entraînées.
Cet ouvrage, qui ne peut évidemment résumer le cours de la guerre à l'Est en 80 pages, présente quelques batailles emblématiques, qu'elles soient connues ou non, du siège de Brest-Litovsk à l'opération Bagration, sans oublier Stalingrad ou Koursk. Elles expliquent pourquoi et comment la Russie a gagné la Seconde Guerre mondiale.
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La bataille de Dunkerque de mai-juin 1940, est finalement peu connue : les auteurs, surtout anglo-saxons, s'attachent à l'évacuation qui a permis de sauver la majeure partie du corps expéditionnaire britannique (BEF) et plus de 120 000 soldats français, mais une féroce bataille a également été livrée. Livrée sur mer, évidemment, où les pertes alliées en navires civils et militaires ont été sévères, mais aussi sur terre, où un corps d'armée français, constitué de toutes pièces à la hâte, a été capable de tenir en échec les Allemands pendant plusieurs jours, permettant l'évacuation. Cette histoire, totalement méconnue en France, n'a encore jamais fait l'objet d'un livre.
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Raymond VI contre Simon de Montfort : le siège de Carcassonne et des châteaux cathares
Yves Buffetaut
- Ysec
- Duels
- 20 Mai 2021
- 9782846733717
Après la destruction de Béziers en 1209, qui marque le début de la croisade contre les Albigeois, un chef se révèle parmi les croisés : Simon de Montfort, qui luttera sans répit contre les Cathares, jusqu´à sa mort en 1218 devant les remparts de Toulouse, ne renonçant jamais, même lorsque les effectifs lui font défaut. Bon tacticien, utilisant au mieux les machines de guerre, il grignote petit à petit les principales places fortes cathares : Carcassonne et Castres, en 1209, Minerve et Termes, en 1210, Cabaret, Lavaur, en 1211, etc. Il échoue, en revanche, devant Toulouse, tenu par son comte Raymond VI, qui mène une politique très ambiguë, soutenant tour à tour les cathares et les croisés, afin de sauver son comté coûte que coûte. Montfort est tué lors du second siège de Toulouse, en 1218 et Raymond VI parvient à reprendre l´essentiel des terres perdues lors de la croisade. Mais finalement, le roi de France Louis VIII conquiert tout le Languedoc à partir 1226
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Pour sortir de l'impasse de la guerre des tranchées en France et en Belgique, Winston Churchill, alors Premier Lord de l'Amirauté, réussit à convaincre le gouvernement anglais et ses alliés, de tenter une attaque par le sud, contre l'Empire ottoman, grâce à la marine alliée qui doit forcer le détroit des Dardanelles pour aller bombarder Constantinople. Rien ne se passe comme prévu et les Alliés sont forcés de débarquer des troupes, qui se trouvent vite bloquées par le corps d'armée turc de Mustapha Kemal, le futur Kemal Ataturk.
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La bataille de Lille s'est déroulée du 25 au 31 mai 1940 dans des conditions extrêmement difficiles pour l'armée française presque totalement encerclée dans le Nord. Pour permettre le repli de nombreuses divisions mobiles vers Dunkerque, les unités encerclées dans Lille décident de se battre jusqu'au bout afin de fixer sur place un corps d'armée allemand. Au moment de la reddition, les Allemands décident de rendre les honneurs de la guerre aux défenseurs français...
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Le 5 octobre 1914, les troupes bavaroises prennent pied sans combat sur le plateau de Notre-Dame de Lorette et bivouaquent à côté d'une petite chapelle. Ils s'y installent solidement et disposent alors d'un observatoire remarquable au nord d'Arras. Les Français parviennent à reprendre la chapelle dans les semaines qui suivent, puis la perdent à nouveau. La guerre revêt alors une intensité sans précédent sur le plateau de Lorette et ses environs. Ainsi commencent les batailles d'Artois qui vont coûter des centaines de milliers de vies, d'octobre 1914 à la fin de l'année 1915. Le 17 décembre 1914, dans le cadre de l'offensive généralisée voulue par le général Joffre, deux corps d'armée français attaquent dans une opération mal préparée qui se solde par un cuisant échec.
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Normandie 44 ; chars et matériel en profils couleurs
Yves Buffetaut, Eric Schwartz
- Ysec
- Normandie 44
- 20 Juin 2019
- 9782846733298
Ce livre de 80 pages présente 180 profils de chars, de blindés et de camions de la bataille de Normandie, avec des notices historiques et techniques, ainsi que des résumés sur lÂ'organisation des différentes unités et leur emploi au combat. On y retrouve des profils en couleur des chars et véhicules des armées britannique, française, américaine et allemande.
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Lorsque débute la bataille de la Somme le 1er juillet 1916, les aviations française et britannique disposent d'une nette supériorité aérienne numérique. Le Fokker E III n'est plus en mesure de s'opposer efficacement aux avions alliés.
Cependant, alors que l'offensive s'enlise pendant des mois sans obtenir de progrès notables, les Allemands introduisent en première ligne de nouveaux appareils. Mieux armés, plus rapides et plus maniables que leurs homologues alliés, ils reprennent vite le dessus : c'est le début de la saga des Albatros D I, D II, D III et D V. En même temps, un nouvel as apparaît, qui symbolise à lui seul le renouveau allemand : Manfred von Richthofen.